Dernier conte publié

Je viens de vous mettre en ligne le conte de L'homme voilé.

Bonne lecture et pensez à commenter vos lecture en créant un sujet de discussion spécifique ici.

Hi, hi! Une envolée de Luc toute débridée du fils prodigue. Une inspiration récupérée sur les recueils dont il nous dit être en possession. Je pense à Thomas, avec comme matériaux, L72, L107 et à Paul, 1 Corinthiens 1,13. C'est mon opinion.

Je viens de mettre en ligne le très long conte de l'homme de toutes couleurs.
Commentez-le en créant un fil de discussion distinct.

Voilà du "grain à moudre" pour mon travail! selon l'expression de Pierre. Comment commencer, c'est cornélien. . . Merci pour vos premiers commentaires qui me donnent déjà des pistes possibles!

Désolé d'être silencieux dans cette rubrique, mais je ne suis pas très "contes et légendes".
Même si leur intérêt ethnologique et spirituel doit être certain, les contes sont un vecteur de transmission auquel je n'ai jamais réussi à adhérer.

Pourtant ces contes offrent un excellent entraînement à l'exégèse.

Je sais bien, cher Guilhem, mais je n'accroche pas à ce style.
Autant j'aime bien les paraboles intégrées dans les textes du Nouveau Testament, autant les contes, qui sont très similaires dans le style et l'approche, ne me parlent pas.

Pauvre petit Pierre! n'as-tu donc pas été bercé par les contes dans ton enfance? Il n'est jamais trop tard pour commencer, les contes n'ont pas d'âge de prédilection; leur langage est universel.  

Bonjour Chantal, autant que je m'en souvienne, je n'ai pas été bercé par eux étant petit et je ne m'en sens pas plus mal. Je me suis cependant délecté des récits mythologiques de toutes époques et civilisations que j'ai pu lire dans ma jeunesse.
Toutefois, autant j'ai trouvé ces récits distrayants, autant je n'en ai jamais retiré un quelconque enseignement, contrairement aux "Fables" de La Fontaine et aux "Caractères" de La Bruyère, dont je me souviens encore.
Leur langage est certes universel, mais leur capacité à délivrer un enseignement ne l'est pas forcément. Et je suis plutôt bon public en général.

C'est normal, car s'agissant de contenus interdits, ils devaient être relativement abscons.
D'où l'intérêt aujourd'hui d'essayer d'extraire l'enseignement caché au profane.

Exact!  C'est très étonnant, n'est-ce pas nos réactions spontanées liées à la culture reçue. Crois en Guilhem, Pierre,  les contes dans la culture populaire avaient ce même  rôle d'enseignement pour tous les analphabètes que comptait notre peuple, et  au même titre que les fresques,  peintures dans les églises et fables lorsqu'elles étaient contées. Ils avaient, en plus l'immense avantage d'être partagés par les générations confondues au cours de temps de convivialité  riches de sens.  Les messages, profanes  ou cachés comme dit Guilhem, ne sont pas plus abscons ( même souvent  moins) que ceux de l'A.T, à mon humble avis. Je t'assure qu'il n'est pas trop tard pour toi. Essaie, une  fois en nous donnant tes sentiments sur un de ces contes, tu t'étonneras toi-même. . .

En effet, l'apparente facilité d'analyse des fables de La Fontaine cache en réalité un sens plus fond comme le font les symboles cachés dans les peintures. Par exemple qui sait que casser son pot au lait (cf Perrette) signifie avoir des relations sexuelles hors mariage, d'où le mari qui en est fort marri ?

Voilà, j'ai appris quelque chose. On sait bien que le langage de La Fontaine  est codé, c'est un exemple type du langage "source de mal-entendu" .