À première vue, ce conte évoque la parabole du fils prodigue, mais l'absence de pardon du père amène à envisager les choses autrement.
Ce que j'en retire, c'est l'avertissement contre le rejet de l'Esprit. En effet, dans cette prison mondaine nous sommes attiré à remettre à demain notre recherche de la spiritualité. Mais cela est dangereux, car nous ne savons pas quand viendra le dernier instant et si nous ne sommes pas prêts à ce moment, nous n'entrerons pas dans la grâce divine.