Ayant mis à jour mes dernières lectures liturgiques, j'aimerai partager ceci avec vous:
Psaume 137: chant de l'exilé
« Près des fleuves de Babel, c'est là que nous étions assis et que nous pleurions, en nous souvenant de Sion.
Aux saules qui s'y trouvent, nous avions suspendu nos cithares.
C'est alors que nos vainqueurs nous demandèrent les paroles d'une chanson et nos bourreaux un chant joyeux:
« Chantez-nous un chant de Sion!»
Que ma langue se colle à mon palais, si je ne me souviens pas de toi, si je n'élève pas Jérusalem au comble de ma joie! …»
Si, comme je le pense, nous partageons bien cette même lecture, je n'ai aucun besoin de répéter le commentaire cathare qui suit ce début de psaume. Personnellement, j'ai été heureuse de le redécouvrir.