1. Bien sûr, le Dieu des cathares est étranger, mais il n'est ni démiurge, ni mauvais: c'est pour cela qu'il est étranger. Il est le principe du Bien, l'Amour universel. C'est la seule réponse personnelle que je peux affirmer sans aucune hésitation, cher Francesco. Tes autres questionnements sont très intéressants et méritent un vrai débat, merci donc de les avoir proposés.
4. Je suis tout à fait d'accord ave José: le catharisme a toujours été là, dans le cœur, dans la tête de tous ceux qui croient dans le principe du Bien. Nul besoin d'une continuité apostolique pour décider de le mettre en œuvre, il suffit d'écouter la petite voix au fond de nous quand elle se manifeste et surtout de trouver le moyen de la rendre plus présente chaque jour.
À mercredi, je suis impatiente.